Codes promo Seazon et offres à utiliser en décembre 2025

COMMENT MANGER DU POISSON DE FAÇON RESPONSABLE ?

Les océans couvrent plus de 70% de la planète et jouent un rôle essentiel dans notre écosystème. Ils produisent plus de 50% de l’oxygène que nous respirons et absorbent près d’un quart du CO2 que l’on émet chaque année. Ils sont également le lieu de vie d’une grande majorité de la biodiversité terrestre. Malheureusement, depuis des années, nous ne prenons pas soin de nos océans, et nous exerçons une pression sur certaines espèces qui, si nous continuons ainsi, risquent de disparaître.

Alors, chez Seazon, on fait de notre mieux pour consommer du poisson de la façon la plus responsable possible.

Limitons notre consommation de poisson

Le poisson possède de nombreux bienfaits pour la santé mais il ne faut pas en abuser. Pour définir la quantité idéale de poisson à consommer par semaine, à la fois d’un point de vue santé et environnement, nos équipes ont fait des recherches. En recoupant les recommandations de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) et d’Anthony Bertou, nutritionniste spécialisé en micronutrition et en sport-santé, une quantité idéale de 3 repas avec du poisson par semaine a été fixée chez Seazon.

Varions les espèces !

En variant les espèces, vous répartissez la pression exercée sur les ressources marines. Chez Seazon, on varie au maximum les espèces qu’on cuisine : lieu, merlu, julienne, tacaud, merlan, églefin, maquereau, sardine, thon et calamars. D’ailleurs, en 2020, nous avons décidé de totalement supprimer le cabillaud de nos recettes, pour éviter de pressuriser une espèce déjà surexploitée dans les zones de pêche qui alimentent le marché français.

Poisson sauvage ou poisson d’élevage, que choisir ?

La moitié des poissons que nous cuisinons est sauvage. L’autre moitié, essentiellement du saumon, est issue d’élevages aux cahiers des charges rigoureux.

L’aquaculture peut parfois donner le sentiment d’être la solution à la surpêche mais ce n’est pas le cas. En effet, celle-ci produit de nombreuses pollutions et contribue à la surpêche des espèces utilisées pour l’alimentation de ces mêmes poissons.

Notre objectif pour 2023 : vous proposer une carte composée de ⅔ au moins de poissons sauvages et ⅓ de poissons d’élevage, tout en continuant de limiter les propositions de plats au poisson à 3 par semaine.